EJECT LE FILM
Préparation
Thaumatrope Film Association (n°W772010590) et Tiburce (réalisateur) lance le projet EJECT, un long métrage atypique sur les violences faites aux femmes. Pourquoi réaliser un film de plus sur ce sujet ? Eh bien justement parce qu'il ne s'agira pas d'un film de plus sur ce thème de par la manière dont le sujet est traité, les conséquences qu'il en expose, et la volonté de venir réellement en aide aux femmes subissant ces violences.
Le projet EJECT est né en 2007, pendant le tournage de mon court métrage Une femme adultère. Le thème des violences conjugales était suggéré, mais le scénario ne me permettait pas d'explorer le sujet comme, intimement, je souhaitais l'explorer. Ce projet est resté en moi pendant 15 ans durant lesquels de multiples versions ont vu le jour. Mais à chaque fois il y avait un angle que je ne parvenais pas à lier à un autre angle narratif et cinématographique ... Lors des confinements, et alors que je finalisais De l'autre côté du mur, mon deuxième long métrage, j'ai repris le scénario, et je butais toujours sur le même problème. Alors, je le laissais de côté et alternais mon écriture sur deux autres films ... je ne parvenais pas à choisir le scénario sur lequel investir tout mon temps. Donc, chaque semaine, je changeais, persuadé à chaque fois que je tenais le bon projet. Et puis, en revenant sur EJECT, un soir de grâce, tout est devenu évident ... la narration allait être très particulière dans sa forme mais sans sacrifier le fond ... juxtaposant deux époques qui se rejoignent à un moment donné. Je ne voulais surtout pas faire un film de plus sur les violences conjugales. Le scénario est, dans ce sens, une belle promesse ... il faut maintenant réussir le film et nous comptons sur votre intérêt pour le sujet des violences faites aux femmes et pour le cinéma, ainsi que sur votre générosité pour compléter notre budget.
Un tournage soucieux des enjeux écologiques
Le cinéma, qu'il soit subventionné ou non, se préoccupe des enjeux écologiques de notre société, y compris de son empreinte carbone. Par conséquent, nous nous engageons à réduire au maximum cette empreinte, tant au niveau du tournage que du financement et de la post-production. Voici les mesures que nous avons prises pour minimiser l'impact environnemental de notre production :
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Nous limitons le nombre de bénévoles afin d'optimiser l'utilisation des véhicules privés.
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Nous concentrons les lieux de tournage dans une zone géographique restreinte.
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Nous privilégions le tournage en été pour tirer le meilleur parti de la lumière naturelle.
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Nous utilisons des éclairages à LED pour réduire considérablement la consommation électrique.
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Toutes les étapes de la postproduction (montage, VFX, SFX, mixage) seront effectuées dans un lieu unique.
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Nous dématérialisons les contreparties pour éviter les envois postaux, la consommation d'encre et de papier, la gravure et l'expédition de CD audio (bande originale du film) et de DVD, etc. Les contreparties permettront à chaque contributeur et contributrice de décider d'imprimer les documents ou de graver un CD et un DVD (les procédures de gravure seront fournies avec les fichiers).
Un projet dont la gestation a été très longue
Le projet EJECT est né en 2007, pendant le tournage de mon court métrage Une femme adultère. Le thème des violences conjugales était suggéré, mais le scénario ne me permettait pas d'explorer le sujet comme, intimement, je souhaitais l'explorer. Ce projet est resté en moi pendant 15 ans durant lesquels de multiples versions ont vu le jour. Mais à chaque fois il y avait un angle que je ne parvenais pas à lier à un autre angle narratif et cinématographique ... Lors des confinements, et alors que je finalisais De l'autre côté du mur, mon deuxième long métrage, j'ai repris le scénario, et je butais toujours sur le même problème. Alors, je le laissais de côté et alternais mon écriture sur deux autres films ... je ne parvenais pas à choisir le scénario sur lequel investir tout mon temps. Donc, chaque semaine, je changeais, persuadé à chaque fois que je tenais le bon projet. Et puis, en revenant sur EJECT, un soir de grâce, tout est devenu évident ... la narration allait être très particulière dans sa forme mais sans sacrifier le fond ... juxtaposant deux époques qui se rejoignent à un moment donné. Je ne voulais surtout pas faire un film de plus sur les violences conjugales. Le scénario est, dans ce sens, une belle promesse ... il faut maintenant réussir le film et nous comptons sur votre intérêt pour le sujet des violences faites aux femmes et pour le cinéma, ainsi que sur votre générosité pour compléter notre budget.